Désireuse d'aller plus loin dans ma démarche d'écoute et de proximité, je souhaite nouer un échange libre où je ne suis pas devant mes concitoyens mais avec eux: c'est le sens des douze cafés-rencontres et des deux préaux-rencontres que j'ai déjà organisés. Si vous m'accordez votre confiance le 10 juin prochain, je m'engage à organiser une rencontre tous les trois mois dans chaque micro-quartier.
Voici les dates de nos prochains préaux-rencontres suivis d'un pot de convivialité, parlez-en autour de vous, venez avec un voisin, un ami...
* mardi 29 mai à 16H30 après-midi thématique en présence du Professeur Françoise FORETTE "Bien vieillir à Paris" au restaurant Le Laumière situé 4, rue Petit
* mardi 29 mai à 19H: préau-rencontre à l'école située 33, rue de l'Evangile
* mercredi 30 mai à 19H: école élémentaire située 9, rue Jomard (19ème)
* jeudi 31 mai à 19H30: préau-rencontre thématique sur la toxicomanie en présence du Professeur Parquet à l'école située 58 rue Philippe de Girard
* vendredi 1er juin à 19H: 11 rue Cavé
* lundi 4 juin à 19H: préau-rencontre en présence de Françoise de Panafieu à l'école située 9 rue Tandou
* mardi 5 juin à 19H: 142 rue des Poissonniers
* mercredi 6 juin à 19H: 41 rue de Tanger
* jeudi 7 juin à 19H: 2, rue de la Guadeloupe
* vendredi 8 juin à 19H: 4, rue Charles Hermite
roxane, a toutes les capacités pour défendre nos quartiers; quartiers délaissés depuis bien longtemps par le député depuis trop d'années en place.
sécurité, propreté, voirie. Roxane est une femme politique de terrain qui a choisi son quartier, notre quartier quelle défendra comme il le mérite comme elle l'aime
Rédigé par : copin.claudine | 28/05/2007 à 18:24
L'UMP toujours pressenti comme grand vainqueur des législatives
PARIS (Reuters) - Au premier tour des élections législatives, l'UMP recueillerait 41% (+ 4 par rapport l'enquête réalisée les 10 et 11 mai), et le Parti socialiste 27,5% (-0,5), selon un sondage Ifop pour Paris Match.
Le Mouvement démocrate de François Bayrou est crédité de 12% (-2), le Front national de 6% (-1), les Verts de 4%, chiffre stable, le PCF de 3,5% (-0,5), et l'extrême gauche de 2% (-1), précise cette enquête.
Compte-tenu de ces rapports de force politiques très favorables à la majorité présidentielle, l'UMP obtiendrait la majorité absolue dans la prochaine Assemblée nationale, avec 410 à 450 sièges, contre 90 à 130 au Parti socialiste.
Un sondage TNS Sofres-Unilog pour Le Figaro, RTL et LCI donne à l'UMP et à ses alliés du Nouveau centre entre 410 et 430 sièges avec 42% des suffrages et au PS et à ses alliés entre 101 et 142 sièges avec 27% des suffrages.
Le Parti communiste obtiendrait de 6 à 10 sièges selon le sondage Ifop et de 4 à 10 selon TNS Sofres, le MoDem entre 0 et 6 selon Ifop (entre 2 et 6 selon TNS), les Verts entre 0 et 2 (1 et 3 pour TNS), le Mouvement pour le France de Philippe de Villiers 2 (2 ou 3 pour TNS) et le Front national et l'extrême-gauche aucun selon les deux enquêtes.
L'étude Ifop a été réalisée auprès d'un échantillon de 931 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
L'enquête TNS Sofres a été menée par téléphone les 28 et 29 mai auprès de 1.000 Français en âge de voter.
publié par Gaullisme populaire et Social . Daniel Hentzé publié dans : Gaullistes populaires: info, sondages ,liens
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Rédigé par : Daniel Hentzé | 31/05/2007 à 12:08
Le lundi 11 juin 2007
Large victoire de Sarkozy
Le président français Nicolas Sarkozy juste avant de déposer son bulletin de vote hier, à Neuilly en banlieu de Paris.
Photo AFP
Louis-Bernard Robitaille
La Presse
Collaboration spéciale
Paris
On attendait un tel raz-de-marée sarkozyste que la gauche a presque poussé un soupir de soulagement hier soir, à l'issue du premier tour des élections législatives.
Avec environ 42% des voix, l'Union pour un mouvement populaire a remporté une très large victoire, qui pourrait lui donner dimanche prochain plus de 400 des 577 sièges que compte l'Assemblée nationale. Mais le Parti socialiste devrait sauver une bonne partie de ses quelque 140 députés sortants, à commencer par ses têtes d'affiche.
Peu après la publication des estimations de vote à 20h, François Hollande, qui est encore le chef en titre du PS, a expliqué que les Français avaient été «cohérents» puisque, conformément à l'usage, ils ont confirmé et amplifié la nette victoire de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle du 6 mai dernier. «Mais, a-t-il dit, le Parti socialiste a un résultat honorable avec plus de 28%, et il faut que notre électorat se mobilise dimanche prochain pour envoyer à l'Assemblée une opposition assez forte pour contrebalancer les énormes pouvoirs déjà détenus par la droite.»
La répartition des sièges se jouera dimanche prochain: sauf quelques batailles triangulaires, seuls les deux candidats arrivés en tête ont le droit de se maintenir. Le compte final dépendra donc du report des voix des candidats battus, notamment ceux du Front national de Le Pen, qui a totalisé moins de 5%, et du Mouvement démocrate de François Bayrou, qui a tout juste sauvé l'honneur avec un peu plus de 7% des suffrages, bien loin des 18,5% obtenus au premier tour de la présidentielle.
Autre inconnue: l'abstention, qui, à près de 40%, a battu tous les records à des élections législatives depuis l'institution du suffrage universel en 1848. Après une participation exceptionnelle (près de 85%) à la présidentielle, les électeurs ont considéré que ces élections législatives n'étaient qu'un vote de ratification. Mais il suffirait que de 3 à 5% des abstentionnistes reviennent aux urnes pour faire basculer d'un côté ou de l'autre plusieurs dizaines de sièges.
Pour le second tour, les instituts de sondage restent donc prudents dans leurs projections, qui donnent entre 380 et 480 sièges à l'UMP, et de 80 à 160 à la gauche. Selon toute vraisemblance, le Parti socialiste va limiter les dégâts, ce qui donnera un sursis à François Hollande à la tête du PS.
Ce qui est clair, en revanche, c'est que les «petits» partis sont écrasés ou marginalisés. Fort de ses 6,8 millions de voix à la présidentielle, le centriste François Bayrou finit écrasé entre la gauche et la droite, et ne devrait sauver que son propre siège.
La descente aux enfers du Parti communiste se confirme: avec 4,6% des voix, il ne lui restera que cinq ou 10 députés et il n'aura plus de groupe parlementaire. Du côté des verts - qui avaient fait 10% aux élections européennes -, c'est également la débâcle avec 2,8% des voix, sans aucun siège de député garanti.
Le Pen principal perdant
Le principal perdant de ce scrutin reste le Front national. Depuis une vingtaine d'années, le parti de Jean-Marie Le Pen avait conservé sa capacité de nuisance. Aux législatives de 1997, l'extrême droite, avec 15%, avait maintenu 80 candidats au second tour et fait perdre une quarantaine de sièges à la droite. Hier, le FN a obtenu 4% des voix de peine et de misère, et ses candidats sont tous éliminés à quelques rares exceptions près, dont Marine Le Pen, qui a obtenu 24% des voix dans la région ouvrière du Nord-Pas-de-Calais. Petite victoire personnelle qui aura des conséquences sur la bataille pour la succession de Jean-Marie Le Pen à la tête du FN.
Rédigé par : Daniel Hentzé | 11/06/2007 à 15:57
- VAILLANT Daniel Ballottage37.63%- DECORTE Roxane Ballottage28.55%- MEHAL Fadila Battue8.21%- RAYNAL Olivier Battu6.64%- LECLERC Anne Battue4.74%- GERMAIN-ROBIN Françoise Battue3.65%- L'HUILLIER Guillaume Battu2.94%- MENDY Jacques Battu2.32%- PIERRE-BLOCH David Battu2.13%- BROSSAT Bernadette Battue0.79%- MARTY Didier Battu0.78%- DELAPORTE François Battu0.58%- BENNADACHE Nadia Battue0.49%- DELALONDRE Clarisse Battue0.44%- MONTANE Jean Battu0.11%- AÏT OUARAB Aldjia Battue0.00%
Rédigé par : Daniel Hentzé | 11/06/2007 à 16:05
Humilité et ouverture, mots d'ordre à l'UMP
- Humilité et ouverture : tels étaient lundi les mots d'ordre de l'UMP au lendemain d'un premier tour des élections législatives très favorable au camp du président Nicolas Sarkozy.
"On a déjà vu des deuxièmes tours qui démentaient le premier. Par conséquent, pour nous, la semaine qui vient c'est une semaine d'humilité et de travail", a déclaré Patrick Devedjian lors du point de presse hebdomadaire au siège du parti, rue de la Boëtie.
"Surtout pas de triomphalisme", a insisté le secrétaire général délégué de l'UMP, qui a dit craindre que les électeurs s'abstiennent à nouveau au second tour dimanche prochain.
"Je crains qu'il ne restent chez eux surtout à cause de l'attitude de la gauche, qui s'est présentée devant le corps électoral sans projet législatif", a-t-il dit.
"Ils se sont bornés à critiquer le projet de Nicolas Sarkozy qui avait pourtant été validé par le corps électoral donc ils étaient vraiment en porte-à-faux et cela a conduit à une démobilisation de leur électorat", a encore analysé Patrick Devedjian.
Le taux d'abstention a atteint dimanche 39,56%, un niveau record pour ce type d'élection sous la Ve République.
Lors du même point de presse, le porte-parole de l'UMP Luc Chatel a émis le souhait que certains "candidats emblématiques" de l'UMP soient élus comme Salem Kacet dans le Nord, Arno Klarsfeld dans le XIIe arrondissement de Paris, ou Marie-Constance Berthelon dans les Landes.
Patrick Devedjian s'est pour sa part dit certain que le n°2 du gouvernement, Alain Juppé, en ballottage dans la deuxième circonscription de Gironde, allait l'emporter.
"Alain Juppé a une cote personnelle à Bordeaux, des responsabilités au gouvernement, un succès qu'il a obtenu comme maire dans la politique de sa ville qu'il a profondément rénovée qui font que je ne suis vraiment pas inquiet pour sa réélection", a dit l'ancien ministre, qui est lui-même en ballottage favorable dans les Hauts-de-Seine.
L'OUVERTURE S'ADRESSE "À TOUS"
Alors que le parti majoritaire pourrait, selon les estimations, remporter plus de 400 sièges sur 577, l'UMP a renouvelé son appel à l'ouverture vers "ceux qui veulent soutenir le projet de redressement de Nicolas Sarkozy.
"L'ouverture pour nous ce n'est pas gadget électoral, ça n'a pas une vocation électorale. Nous avons besoin de toutes les forces vives de ce pays", a dit Patrick Devedjian.
"Tous ceux qui veulent s'associer au programme de redressement de la France engagé par Nicolas Sarkozy sont bienvenus dans la majorité présidentielle", a-t-il insisté, plaidant pour une "opposition constructive" autour d'un "même objectif : le bien de la France".
Il a dit espérer qu'il n'y aurait, par exemple, plus d'obstruction des travaux de l'Assemblée via le dépôt par l'opposition d'un très grand nombre d'amendements.
En réponse à une question d'un journaliste, Patrick Devedjian a précisé que la main tendue par l'UMP s'adressait "à tous", y compris au Mouvement démocrate de François Bayrou.
L'ancien ministre n'a cependant pas manqué d'égratigner le camp du député béarnais, qui pourrait ne compter que quatre députés au maximum dans la nouvelle assemblée.
"La stratégie du MoDem n'était pas compréhensible par son propre électorat", a analysé Patrick Devedjian.
"On peut dire tout ce qu'on veut sur la proportionnelle mais quand vous constatez que le MoDem a divisé son score par trois en un mois et demi.... Pour avoir des élus, il faut avoir des électeurs", a-t-il ironisé.
Le MoDem a recueilli 7,6% des voix dimanche, alors que François Bayrou avait rassemblé 18,6% des électeurs sous son nom lors du premier tour de la présidentielle.
Rédigé par : Daniel Hentzé | 11/06/2007 à 16:09