Jeudi 23 Juillet 2009
Par Maud PIERRON
leJDD.fr
Les pieds à Bruxelles et Strasbourg, pour son mandat d'eurodéputée, mais la tête à Paris.... (Reuters) "Cher François, je voulais te dire que la mairie m'intéresse beaucoup. Il y a de grandes chances que je me présente. D'autant que la dernière fois, tu m'avais dit que tu n'étais pas partant. Discutons-en." Voilà, d'après Le Parisien, la teneur du SMS qu'aurait envoyé l'ancienne garde des Sceaux au Premier ministre, dont le nom est régulièrement évoqué pour mener la candidature UMP à la mairie de Paris en 2014. Une manière un peu cavalière mais qui correspond à la méthode Dati: cash. La maire du 7e arrondissement ne se voit pas continuer ad vitam eternam sa carrière politique entre Bruxelles et Strasbourg. La capitale possède à ses yeux plus de charmes. Du coup, elle s'active, montant son club de réflexion "7 à vous" pour réfléchir aux réponses à apporter aux Parisiens, mettant en avant son double ancrage local: maire et eurodéputée. Mais ces premières manoeuvres ne sont pas du goût de tout le monde au sein de l'UMP parisienne.
"Candidater cinq ans avant l'échéance, c'est de l'ordre du grotesque", tempête Bernard Debré, député du 16e arrondissement. "Fillon, lui, a eu la sagesse de ne rien annoncer, il se concentre sur son travail. Elle devrait en faire autant. Ce n'est pas convenable d'agir ainsi, la mairie de Paris, ce n'est pas la course à l'échalotte où le premier qui se déclare à gagné", poursuit-il. Un autre élu de Paris, qui réclame l'anonymat, lâche: "On ne peut pas décréter vouloir être maire de Paris. On doit légitimer cette envie par son travail. On n'hérite de rien, mais on le mérite. Il ne suffit pas de dire ‘Je veux'". Du moins pour Rachida. Car beaucoup d'élus de la majorité attendent qu'un autre affiche sa volonté.
"Qui sait si elle sera encore là en 2014?"
Cet autre, capable de ramener Paris dans le giron de la droite, Philippe Goujon, patron de la fédération UMP parisienne, en dresse le portrait robot: "Une personnalité de dimension nationale, avec de l'expérience, capable d'unir la droite, connu à l'international car les Parisiens aiment être fiers de leur maire". François Fillon tout craché, vous l'aurez reconnu. "C'est mon idée", assure le député-maire du 12e, même si "le Premier ministre n'a fait aucun de signe en ce sens". "Si Fillon veut venir, il fera sans conteste l'unanimité, il n'y pas de question à se poser", approuve un autre élu de Paris. Pour Philippe Goujon, le débat de la candidature Dati relève de "l'agitation prématurée", mais "l'UMP aurait tort de se priver de son talent". D'ailleurs, il a déjà trouvé la solution pour caser les deux personnalités: "un ticket François Fillon-Rachida Dati". Dans cet ordre.
Cinq ans, c'est long. "Qui sait si elle sera encore là en 2014?", flingue encore Bernard Debré. L'élu du 16e, qui a disputé l'investiture à François de Panafieu à Paris pour la dernière municipale, ne cache pas son "agacement". "Elle doit d'abord bien travailler au Parlement européen, puis s'investir dans sa mairie. Elle a encore du chemin à parcourir. On ne devient pas maire de Paris par l'opération du Saint-Esprit", lâche-t-il. Pourtant, il assure "bien aimer Rachida", mais pourfend son goût des médias. "Dès qu'il y a un manque médiatique, il faut qu'elle s'affole", juge-t-il. Sa notoriété, Rachida Dati en fait justement un atout pour imposer sa candidature. Un argument que lui renvoie à la figure Philippe Goujon. "C'est vrai, elle est très connue avec son passage place Vendôme, mais elle n'y a pas tout réussi, c'est un euphémisme. Son point faible, c'est aussi la capacité d'unir la droite parisienne". Méthode trop brutale, fort caractère à même de créer des divisions, attrait pour la lumière médiatique trop prononcé, inexpérience, manque de travail sur le fond... Les camarades de Dati sont sévères.
"Surtout pas de vote des militants"....
Mais si plusieurs candidatures émergent? "Il y a des statuts à l'UMP: soit une désignation par le vote des militants, soit par la commission des investitures", rappelle doctement Philippe Goujon. "Surtout pas de vote des militants, râle Bernard Debré. On a vu ce que ça a donné avec Panafieu*". "Soit une personnalité se dégage naturellement, soit plusieurs candidats se présentent et dans ce cas, le vote des militants me semble le plus légitime", explique Bournazel. Roxane Decorte, élue dans le 18e, penche également pour cette procédure, qui "créé une dynamique, un élan". Mais pour la conseillère de Paris, l'essentiel est ailleurs, n'en déplaise à certains. "Regagner l'Ile-de-France, c'est la priorité des priorité, le préalable sans lequel nous ne pourrons pas reconquérir Paris en 2014". Et justement, Rachida Dati compte s'investir fortement dans la campagne. Pour prendre ses marques. "L'adversité la stimule, c'est une combattante, elle aime la bagarre", relève un élu qui la connaît bien. Pas de doute, elle va être servie.
Avec la loi Libertés et Responsabilités des Universités, le mouvement de modernisation des universités françaises est concrètement enclenché. Aujourd’hui, la rénovation et la construction des bâtiments pédagogiques, des laboratoires et des lieux de vie universitaires à Paris, s’affirme comme une priorité absolue de l’Etat. En tant que Conseillère de Paris et du 18ème arrondissement mais également en tant qu'ancienne étudiante à l’annexe de Paris IV à la Porte de Clignancourt dans le 18ème arrondissement je me félicite de la signature des deux premiers contrats en partenariat public-privé entre l’Etat et les Universités Paris IV et Paris VII. Avec ces deux opérations, ce sont 226 millions d’euros supplémentaires qui iront au bénéfice des universités parisiennes pour améliorer encore les conditions d’enseignement sur le site Sorbonne-Clignancourt et pour parfaire l’implantation du nouveau campus de l’Université Paris VII dans la ZAC Tolbiac achevant ainsi sa sortie du site de Jussieu.
Ces deux opérations en partenariat public/privé permettront de réduire les délais de construction et, via un contrat de maintenance, assureront leur nécessaire entretien pendant plusieurs années.
A l’automne, les conclusions de l’audit l’immobilier commandé par Valérie Pécresse à Monsieur Larrouturou précéderont l’annonce des nouveaux regroupements entre les universités parisiennes et les projets immobiliers qui en découlent.
Je souhaite avec force que la Ville de Paris et la Région Ile de France accompagnent ces projets. Monsieur Delanoë avait annoncé l’affectation d’un milliard à de nouveaux projets pour les universités parisiennes. Où en est-il, compte-t-il accompagner ces deux projets très concrets, par de nouveaux équipements ou va-t-il épouser la posture idéologique et passéiste de la Région Ile de France qui semble ignorer les besoins des universités parisiennes ?
Vous le savez, les transports sont la priorité n°1 des Franciliens.
Les millions d’usagers qui les empruntent chaque jour ne veulent plus de la galère quotidienne ! Ils attendent du changement, rapidement.
Ponctualité, sécurité, confort, services dans les gares, nouvelles lignes de banlieue à banlieue, telles sont les attentes légitimes des Franciliens, auxquelles nous devons répondre.
Le projet de Grand Paris présenté le 29 avril dernier par le Président de la République trace enfin les contours d’un projet visionnaire pour l’Ile-de-France, dont les transports sont la pierre angulaire avec 35 milliards d’euros d’investissements.
Nous devons aujourd’hui sonner la mobilisation générale.
C’est pourquoi nous avons le plaisir de vous inviter autour de Valérie Pécresse:
Samedi 20 juin, de 10h à 13h,
Lancement d’un grand débat public sur les transports en Ile-de-France
Amphithéâtre de la Société de Géographie,
184 bd Saint-Germain,
Paris 6ème
Nous vous remercions de bien vouloir vous inscrire à l’adresse suivante : [email protected] ou par téléphone (01.30.70.04.48 ou 06.87.34.52.40).
Nous vous attendons nombreux pour cette matinée d’échanges sur un sujet qui nous concerne tous.
Dans le cadre des débats sur la réforme des collectivités locales lancés par l'UMP, j'ai le plaisir de vous inviter jeudi 11 juin à 19H15 au Grillotin situé 3 rue de la Chapelle à une réunion-débat avec Philippe DALLIER, Sénateur, auteur du rapport "Le Grand Paris: un vrai projet pour un enjeu capital". Parlez-en autour de vous. Je vous remercie de me préciser par retour de mail votre présence.
J'ai le plaisir de vous convier avec ma collègue déléguée de la 18ème circonscription à une réunion-débat "l'Europe au quotidien" en présence de Jean-Didier Berthault, Secrétaire de la Fédération UMP de Paris et Candidat aux Elections Européennes et de François Merlet responsable des Jeunes Populaires à Paris Mardi 2 juin à 19H30 au Grillotin situé 3, rue de la Chapelle dans le 18ème arrondissement Métro Marx-Dormoy.
Cette réunion-débat sera suivie d'un buffet aux couleurs européennes. Pour des raisons d'organisation, je vous remercie de confirmer votre présence par retour de mail. Parlez-en autour de vous.
Lundi 27 avril, Valérie Pécresse a réuni dans un wagon de la RATP ses chefs de pôle pour la campagne des régionales en Ile-de-France.
De gauche à droite et par rangée : Yves Jego chargé des relations avec les élus, Rama Yade porte-parole, Valérie Pécresse, Roger Karoutchi, Chantal Jouanno chargée du projet, David Douillet, s'occupera des relations avec les associations, Stéphanie Von Euw en charge du comité de soutien, Gérard Larcher conseiller politique, Philippe Dallier chargé du Grand Paris, moi-même en charge de l'animation, Frédéric Lefebvre chargé de l'e-campagne, Vincent Chriqui chargé de la veille et des argumentaires, Marwa Ablouh chargée des relations avec les associations, Sophie Rigault en charge des relations avec les jeunes, Patrice Gassenbach en charge des relations avec les partis politiques. Et aussi Jean-François Copé, qui sera président du comité de soutien.
A l’occasion de l’intervention du Président de la République Nicolas Sarkozy sur TF1, France 2, M6 et RTL qui portera sur les préoccupations des Français face à la crise et apportera des réponses concrètes aux interrogations de nos concitoyens, j’organise une retransmission ouverte au public jeudi 5 février à 20H précises, suivie d’un pot de convivialité au Café La Piscine situé 5, place Hébert dans le 18ème arrondissement Métro Marx Dormoy Pour tout renseignement Tél : Permanence UMP située 34 rue de la Chapelle 75018 PARIS 01 40 38 10 49
Parlez en autour de vous, venez avec un ami, un voisin.
Je compte sur votre présence.
Fidèlement.
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